Ferrara
Entre 1997 et 2002, j’ai plusieurs fois exploré les rues de Ferrare, la ville mystérieuse chantée par Giorgio Bassani ou sublimée par Michelangelo Antonioni.
Même sans le brouillard souvent présent, il se dégage de la ville une sensation de secrets enfouis, une impression de vies cachées derrière des volets clos.